Auteurs : Lenaerts et Gihef
Editeur : Dupuis
Orson Wells a un nom prédestiné à faire du cinéma, même s’il ne s’écrit pas de la même manière que celui du célébrissime réalisateur de Citizen Kane.
Des illusions plein la tête, jeune et talentueux, mais aussi victime de phobies, angoisses et autres tocs, Orson se rend à Hollywood sur recommandation de son professeur d’écriture à l’Actor’s Studio.
Sa passion se heurtera à des réalités insoupçonnées d’un milieu peu accueillant, où les coups bas et conspirations médiatiques sont légion.
Dans le genre de BD de divertissement, au dessin "réaliste", "classique" (pas si éloigné de Berthet) et à la structure imparable, Mister Hollywood apporte sa touche d’originalité (malgré les apparences) et est une série à suivre de près. Elle nous mène dans l’envers du décor, dans les pièges de l’industrie cinématographique américaine. On voit que c’est documenté. Plausible ou pas, c’est en tout cas crédible pour le lecteur qui n’a jamais mis les pieds dans cette Olympe moderne et ça change le regard qu’on porte sur elle. On serait curieux de connaître l’avis de cinéastes expérimentés.
Editeur : Dupuis
Orson Wells a un nom prédestiné à faire du cinéma, même s’il ne s’écrit pas de la même manière que celui du célébrissime réalisateur de Citizen Kane.
Des illusions plein la tête, jeune et talentueux, mais aussi victime de phobies, angoisses et autres tocs, Orson se rend à Hollywood sur recommandation de son professeur d’écriture à l’Actor’s Studio.
Sa passion se heurtera à des réalités insoupçonnées d’un milieu peu accueillant, où les coups bas et conspirations médiatiques sont légion.
Dans le genre de BD de divertissement, au dessin "réaliste", "classique" (pas si éloigné de Berthet) et à la structure imparable, Mister Hollywood apporte sa touche d’originalité (malgré les apparences) et est une série à suivre de près. Elle nous mène dans l’envers du décor, dans les pièges de l’industrie cinématographique américaine. On voit que c’est documenté. Plausible ou pas, c’est en tout cas crédible pour le lecteur qui n’a jamais mis les pieds dans cette Olympe moderne et ça change le regard qu’on porte sur elle. On serait curieux de connaître l’avis de cinéastes expérimentés.
Chronique par Jean Alinea