Auteurs : Coyote & Nini Bombardier
Editeur : Le Lombard
Le concept est simple : un immeuble à appartements, aux occupants correspondant à des clichés pour le moins contrastés. Les gothiques, les homosexuel(le)s, les beurs, le tintinophile, la vieille aux chats, les jeunes parents, le vieux couple de hippies alter-mondialistes, etc. Tous parviennent à vivre en cohabitation relativement harmonieuse.
A vrai dire, si tous les gens différents pouvaient être si sympathiques et solidaires, je ne vois pas pourquoi il y aurait encore des soucis majeurs en ce bas-monde. Donc pas de soucis majeurs sous le toit du 109, hormis des malentendus amusants et des désespoirs passagers.
On ne rit pas aux éclats, mais les planches cocasses nous collent le sourire et donnent envie d’essayer encore davantage d’aimer les gens dans leur diversité. C’est déjà beaucoup.
Le dessin de Coyote contribue grandement à rendre attachants tous les personnages, à rendre belles toutes les femmes… même Marie-Rose, la mamie casse-cou.
Le concept est simple : un immeuble à appartements, aux occupants correspondant à des clichés pour le moins contrastés. Les gothiques, les homosexuel(le)s, les beurs, le tintinophile, la vieille aux chats, les jeunes parents, le vieux couple de hippies alter-mondialistes, etc. Tous parviennent à vivre en cohabitation relativement harmonieuse.
A vrai dire, si tous les gens différents pouvaient être si sympathiques et solidaires, je ne vois pas pourquoi il y aurait encore des soucis majeurs en ce bas-monde. Donc pas de soucis majeurs sous le toit du 109, hormis des malentendus amusants et des désespoirs passagers.
On ne rit pas aux éclats, mais les planches cocasses nous collent le sourire et donnent envie d’essayer encore davantage d’aimer les gens dans leur diversité. C’est déjà beaucoup.
Le dessin de Coyote contribue grandement à rendre attachants tous les personnages, à rendre belles toutes les femmes… même Marie-Rose, la mamie casse-cou.
Chronique par Joachim
