Auteurs : de Crécy et Meltz
Editeur : Futuropolis
Un beau livre qui n’aura probablement d’intérêt que pour les fans acharnés de Nicolas de Crécy et les étudiants en cinéma d’animation.
En effet, il présente le scénario et les premières images (extraits du storyboard et grandes illustrations) du premier long métrage de dessin animé de ce surdoué du dessin.
On devait déjà à de Crécy tous les décors de La vieille dame et les pigeons (film court et ultra-primé - à raison - de Sylvain Chomet).
L’Orgue de Barbarie est un bouquin facultatif mais qui annonce une oeuvre que j’attends impatiemment sur grand écran, l’auteur semblant parvenir à transposer le style si particulier de ses bandes dessinées. Une œuvre qu’on peut déjà qualifier de déjantée, probablement jubilatoire et… sans concessions ?
Chronique par PJ
L’Orgue de Barbarie - le pitch :
Gustave Glarous, un petit homme énergique dont le regard disparaît derrière d’immenses lunettes et que la chance a abandonné, décide sur le tard de rompre avec la médiocrité et de faire fortune en suivant les préceptes d’une « idéologie marketing » moderne, performante et efficace. Sans rien comprendre à ces théories nouvelles, Gustave entraîne son fils Steve (une grande larve sans énergie, du genre à hésiter entre piocher dans son cornet de pop-corn ou son sac de réglisses), dans la création d’un concept commercial aberrant n’offrant pas la moindre chance de réussite, basée sur la contre-proposition : surprise et décalage sont les maîtres mots du succès dans un monde toujours plus compétitif.
Gustave Glarous, un petit homme énergique dont le regard disparaît derrière d’immenses lunettes et que la chance a abandonné, décide sur le tard de rompre avec la médiocrité et de faire fortune en suivant les préceptes d’une « idéologie marketing » moderne, performante et efficace. Sans rien comprendre à ces théories nouvelles, Gustave entraîne son fils Steve (une grande larve sans énergie, du genre à hésiter entre piocher dans son cornet de pop-corn ou son sac de réglisses), dans la création d’un concept commercial aberrant n’offrant pas la moindre chance de réussite, basée sur la contre-proposition : surprise et décalage sont les maîtres mots du succès dans un monde toujours plus compétitif.
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