Auteurs : Istin et Daxiong
Editeur : Soleil
Assez peu friand - à quelques exceptions près - des productions (et des interruptions de séries) des éditions Soleil, rien ne prédisposait à ce que j’apprécie la lecture de ce premier volume de Muo Wang. Pourtant...
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgv-4dq2WND2ESKQ80KSr2q8QM8xrytZVXsjpwPDyeXaVnuvHS_5ZOgtZw5lFeEH-e7oCjSXBtf5zA6Yr63XHObV-xolHGUUtChlELScvb5HJbxOnpYt3JfkXQIDDw0JILaym5Wf6uVG2Gf/s400/MuowangT1_s_BIG_s_.jpg)
Au Ve siècle, des personnages d’origines et d’époques différentes se réveillent, amnésiques, en plein cœur d’une forteresse prise d’assaut par une gigantesque armée. C’est un peu comme si cette poignée de protagonistes - un jeune guérisseur chinois, un enfant muet, une danseuse indienne, un vieux druide gallois, un cuisinier Hun, et une égyptienne spectrale - avait été téléportée là pour assembler leurs compétences pour protéger la citadelle prête à céder à l’envahisseur.
Agréable à lire jusqu’à présent, l’intérêt qu’il faut porter au récit Muo Wang dépendra de la qualité des tomes suivants.