Auteur : Aurita
Editeur : Impressions Nouvelles
Dans une zone de transit, papiers, attente, impatience, incompréhension. Aurélia Aurita est française d’origine asiatique. Et a connu la suspicion lors d’un de ses voyages réguliers au Japon, où elle poursuit ses recherches de mangaka et rejoint son compagnon Frédéric Boilet. Pourquoi ces séjours, pourquoi sous un visa touristique, pourquoi trois mois, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi. Et ces pourquoi semblent bien difficiles à comprendre lorsque la différence de langue est là.
Et c’est pourtant avec humour et légèreté qu’elle arrive à nous faire partager cette expérience pour le moins désagréable. Expérience où l’on se sent privé d’une part de son existence libre, sans doute.
Différent de ses précédents ouvrages (Fraise et Chocolat, tome 1 et tome 2), Je ne verrai pas Okinawa aborde un sujet plus lourd, celui de la différence, de la paranoïa, du doute, de la suspicion. Celui du sentiment d’infériorité et d’impuissance. Le tout rassemblé dans ce fouillage d’identité plus que déroutant dans un aéroport japonais.
Et malgré ça, Aurélia Aurita aimera probablement toujours le Japon.
Editeur : Impressions Nouvelles
Dans une zone de transit, papiers, attente, impatience, incompréhension. Aurélia Aurita est française d’origine asiatique. Et a connu la suspicion lors d’un de ses voyages réguliers au Japon, où elle poursuit ses recherches de mangaka et rejoint son compagnon Frédéric Boilet. Pourquoi ces séjours, pourquoi sous un visa touristique, pourquoi trois mois, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi. Et ces pourquoi semblent bien difficiles à comprendre lorsque la différence de langue est là.
Et c’est pourtant avec humour et légèreté qu’elle arrive à nous faire partager cette expérience pour le moins désagréable. Expérience où l’on se sent privé d’une part de son existence libre, sans doute.
Différent de ses précédents ouvrages (Fraise et Chocolat, tome 1 et tome 2), Je ne verrai pas Okinawa aborde un sujet plus lourd, celui de la différence, de la paranoïa, du doute, de la suspicion. Celui du sentiment d’infériorité et d’impuissance. Le tout rassemblé dans ce fouillage d’identité plus que déroutant dans un aéroport japonais.
Et malgré ça, Aurélia Aurita aimera probablement toujours le Japon.