Auteurs : Grenson & Lapière
Editeur : Dupuis
La couverture 
est particulièrement représentative de l’atmosphère des planches intérieures : un contraste prononcé entre l’ambiance lourde (et souvent sordide) de certains paysages industriels carolos et la beauté d’une lumière de soleil couchant ou encore des jeunes personnages principaux.
Les éléments qui composent l’intrigue policière nous sont distillés progressivement, au point qu’il est encore difficile de se prononcer sur sa qualité à ce stade-ci. D’habitude, j’ai une aversion pour les polars alternant procès et flashbacks… mais le texte aux consonances justes de Denis Lapière (Le bar du vieux français, Charly…) parvient à captiver.
Et puis graphiquement, La femme accident est déjà une réussite : le dessin en couleurs directes d'Olivier Grenson (Niklos Koda) devrait combler les amateurs de Lepage (La terre sans mal, Muchacho) ou de Berlion (Lie de vin, Histoires d’en ville).
est particulièrement représentative de l’atmosphère des planches intérieures : un contraste prononcé entre l’ambiance lourde (et souvent sordide) de certains paysages industriels carolos et la beauté d’une lumière de soleil couchant ou encore des jeunes personnages principaux.Les éléments qui composent l’intrigue policière nous sont distillés progressivement, au point qu’il est encore difficile de se prononcer sur sa qualité à ce stade-ci. D’habitude, j’ai une aversion pour les polars alternant procès et flashbacks… mais le texte aux consonances justes de Denis Lapière (Le bar du vieux français, Charly…) parvient à captiver.
Et puis graphiquement, La femme accident est déjà une réussite : le dessin en couleurs directes d'Olivier Grenson (Niklos Koda) devrait combler les amateurs de Lepage (La terre sans mal, Muchacho) ou de Berlion (Lie de vin, Histoires d’en ville).
Chronique par Jean Alinea
