Auteur : Albom
Editeur : Pocket
Le livre La dernière leçon est sous-titré Comment un vieil homme m'a redonné le goût de vivre. Je dirais plutôt "Comment un mourant m'a appris la vie".
Mitch Albom, journaliste sportif dans le vent, tombe par hasard sur une émission TV où il reconnaît son ancien professeur, Morrie Schwartz. Celui-ci est atteint de SLA (sclérose latérale amyotrophique), en français paralysie évolutive menant à une mort inexorable.
Il prend contact avec Morrie , et ira le voir une fois par semaine quatorze mardis de suite. Nous assistons à la rapide dégradation physique de Morrie, en même temps qu'à son dépouillement psychologique. On parle de la mort , bien sûr , de l'amour, du pardon, de la famille, de l'argent... Tout cela en termes concis et dépourvus de pathos.
Voilà un professeur de sociologie qui aurait pu se qualifier de directeur de conscience. Mais peut-être est-ce la même chose ? Il a donné jusqu'à son dernier souffle. Et après ? Au moins la question est posée.
Mitch Albom, journaliste sportif dans le vent, tombe par hasard sur une émission TV où il reconnaît son ancien professeur, Morrie Schwartz. Celui-ci est atteint de SLA (sclérose latérale amyotrophique), en français paralysie évolutive menant à une mort inexorable.
Il prend contact avec Morrie , et ira le voir une fois par semaine quatorze mardis de suite. Nous assistons à la rapide dégradation physique de Morrie, en même temps qu'à son dépouillement psychologique. On parle de la mort , bien sûr , de l'amour, du pardon, de la famille, de l'argent... Tout cela en termes concis et dépourvus de pathos.
Voilà un professeur de sociologie qui aurait pu se qualifier de directeur de conscience. Mais peut-être est-ce la même chose ? Il a donné jusqu'à son dernier souffle. Et après ? Au moins la question est posée.
Amitiés universelles,
Guy.
Guy.
